L’éventuelle séparation du Sud occupe
fortement les débats de la session annuelle
de l’Assemblée générale de l’Onu, avec
d’ores et déjà un soutien implicite aux
sécessionnistes.
La tension politique monte en raison des
fortes pressions du Hezbollah et de ses
alliés pour discréditer le Tribunal Spécial
pour le Liban (TSL), chargé d’enquêter sur
l’assassinat de l’ancien premier ministre
libanais Rafic Hariri.