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  Président Abdel-Moneim Saïd
 
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 Semaine du 5 au 11 août 2009, numéro 778

 

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Enquête

Nil

Derives sur le Nil

Ce fleuve mythique et nourricier fait l’objet de débats et de projets et même d’opposition entre les différents pays riverains. L’Egypte et le Soudan en particulier viennent de s’opposer à un projet de partage qui compromet leurs droits « historiques ». Etat des lieux.

« Il est temps que l’on s’ouvre sur les pays du Bassin du Nil »

Mahmoud Abou-Zeid, ancien ministre de l’Irrigation et des Ressources hydrauliques qui était en charge du dossier du Bassin du Nil, évoque l’évolution des négociations et souligne l’importance de comprendre les besoins des pays africains.

Un fleuve surestimé ?

Le Nil, plus long fleuve du monde, n’arrive pas à satisfaire les besoins des pays riverains.

Israël sème la zizanie

L’Etat hébreu, qui convoite l’eau du Nil, contribuerait à l’attitude des pays riverains à l’égard de l’Egypte.

« Le plus important c’est de prendre en considération les accords historiques »

L’ambassadrice Mona Omar, assistante du ministre égyptien des Affaires étrangères pour les affaires africaines, s’explique sur les différends entre les pays du Bassin du Nil.


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