La CEDEAO et
l’UA
accentuent
leurs
pressions pour
empêcher les
membres de la
junte et
ceux de la
transition d’être
candidats aux
élections de
janvier prochain.
Mais
Conacry
campe
sur
sa
position et demande
que la
candidature du
chef de la junte
soit
inscrite
dans la
médiation
burkinabé.