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Rédacteur en chef Mohamed Salmawy
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 Semaine du 10 au 16 Septembre 2008, numéro 731

 

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Agriculture . Un de nos lecteurs exprime son mécontentement au sujet de la situation des paysans égyptiens et craint la désertification des terres.

Sauvons nos terres

J’ai suivi récemment un programme télévisé 90 minutes diffusé sur la chaîne satellite égyptienne Al-Mehwar, dont le sujet débattu m’a beaucoup intéressé. Il s’agissait de la situation alarmante de nos paysans et de nos terres. En effet, la difficile conjoncture dans laquelle se trouvent les paysans égyptiens doit attirer davantage l’attention de nos gouvernants.

La hausse galopante du prix des engrais complique encore les choses et oblige même parfois les paysans à vendre leurs terrains, chercher un autre travail, aller s’installer ailleurs, ou parfois quitter le pays et s’installer à l’étranger. Comment donc à l’heure où tout le monde parle d’une crise alimentaire mondiale, ne cherche-t-on pas à apporter de meilleures conditions de travail à nos paysans ? Je pense que le gouvernement doit débloquer des subventions pour l’agriculture afin d’empêcher la désertification des surfaces cultivables.

Apprenons à faire de notre mieux, car notre pays a les moyens d’être dans une meilleure situation. Le gouvernement doit mettre sur pied une stratégie claire et stricte pour venir en aide aux paysans égyptiens.

Ahmad Al-Saïd,
Le Caire.

Une cause de sécurité nationale

Comme d’habitude, j’aimerais intervenir sur l’article de Monsieur Salmawy paru dans le numéro 729 d’Al-Ahram Hebdo et intitulé « Une cause de sécurité nationale ».

En effet, cet article aurait dû être publié aussi bien en anglais qu’en arabe et non seulement en français. Le texte a été d’une importance capitale de par son contenu que sa portée, notamment en rappelant aux gens l’importance de l’art et donc de loin des dessins pour enfants, qui sont un commencement de celui-ci.

J’ai beaucoup aimé cet argument qui, pour moi, était une nouvelle lecture de l’art. Enfin, pour terminer, n’oublions pas que les écrivains sont en termes hugoliens « des rêveurs sacrés ».

Ils s’inspirent des vicissitudes d’une société et de retour lui impriment une direction ! C’est pourquoi il est important de suivre les sages conseils de Salmawy.

Boris Dimitry Okira,
Le Caire.

 

La société égyptienne a bien changé ...

C’est avec beaucoup d’intérêt que j’ai lu dans votre journal l’article Attention la bodyguard, publié dans le numéro 729. Il semble vraiment que la femme égyptienne a décidé de relever le défi et de se lancer dans tous les secteurs de travail, sans exception. J’ai lu aussi que 300 femmes travaillent dans la société de sécurité privée en question.

Ce chiffre indique que la société égyptienne a vraiment changé. L’idée selon laquelle la femme est un être faible qui ne peut pas se défendre est dans cet article complètement contredite. Je pense donc que maintenant, les hommes n’ont qu’à mieux se tenir face aux femmes. Il pourrait leur arriver bien des mésaventures en cas de harcèlement.

Yossra El Shérbini,
Le Caire.
 

Un message aux harceleurs

J’ai lu avec beaucoup d’enthousiasme et d’intérêt l’article intitulé Fini la loi du silence, publié dans le numéro 627 d’Al-Ahram Hebdo. Je tiens pour cela à saluer la journaliste talentueuse Doaa Khalifa qui a traité une question sensible qui touche notre société : il s’agit du harcèlement sexuel. J’ai été choqué d’apprendre que les différentes études publiées récemment affirment que les femmes voilées, et même celles qui portent le niqab, sont les plus exposées à des actes de harcèlement sexuel. Dans le passé, on pensait que seules les femmes parfumées vêtues légèrement attiraient vers elles les remarques des hommes dans la rue.

Aujourd’hui, il est temps de remédier à ce problème moral qui apparaît dans tous les lieux, même dans le milieu professionnel. Je pense qu’à ce niveau, le père de famille se doit d’apporter davantage d’éducation à ses fils. J’adresse aussi un message à tous ces jeunes agresseurs. Messieurs, imaginez que cette femme que vous dérangez soit votre sœur, mère ou fille ... Accepterez-vous que quelqu’un les harcèle ?

Hossam Al-Sayed,
Ariche.

Un hic quelque part

Il existe en ce moment un nombre impressionnant de publicités dans les journaux concernant la construction de nouveaux villes et villages de vacances. Des villes qui se construisent pour une population riche aux revenus atteignant parfois des millions et même des milliards de livres égyptiennes. Dans ces publicités, des immenses villas de luxe sont vantées, ressemblant à des palais d’autrefois. Et malgré les prix exorbitants, elles s’arrachent comme des petits pains ! Alors je ne comprends pas : comment peut-on parler de mauvaise situation économique en Egypte ? Que fait-on des populations les plus pauvres et des sans-abris et bidonvilles qui gagnent en nombre ? Il doit y avoir une erreur quelque part.

Saleh Ibrahim,
Le Caire.

Un verdict réconfortant

J’ai appris dans la presse une information qui m’a beaucoup réconforté et je suis sûr qu’elle a eu le même effet sur nous tous. Je veux parler du verdict condamnant 20 dirigeants de cimenteries, à la suite du procès pour pratiques monopolistiques. Ces dirigeants devront payer une amende de 10 millions de L.E. chacun, soit 200 millions de L.E. en tout. Je souhaite que ce verdict serve d’exemple à tous les autres dirigeants qui se livrent à de telles pratiques sur le dos des citoyens. Il était temps pour que ce genre de décision soit prise car si on continue à craindre ces entreprises, la société ne sera jamais « nettoyée ».

Sabri Ali,
Le Caire.

Le terminal du cœur

Je voudrais comme tant d’autres Egyptiens saluer la décision de notre gouvernement, qui a toujours été d’une grande hospitalité envers ses frères palestiniens. Les autorités égyptiennes ont en effet ouvert le terminal de Rafah près de la bande de Gaza pendant deux jours pour les Palestiniens, et en premier ceux qui sont malades. Les autorités palestiniennes ont remercié l’Egypte au nom du peuple palestinien pour sa position en faveur des Palestiniens. Je pense que cette décision doit se renouveler régulièrement, mais avec plus de mesures et de contrôles. Il faut montrer à nos frères palestiniens que personne ne touchera aux relations historiques entre l’Egypte et la Palestine.

Yasser Hassan,
Guiza.

 




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