Al-Ahram Hebdo, Vie mondaine |

Des fêtes à vous faire tourner la tête

Saad Al-Saghir au club du 6 Octobre.

Tamer Hosni au Palais des congrès.

Miryam Farès à l’hôtel Al-Salam.

Mohamad Fouad au club Al-Chams.

Moustapha Qamar au club Al-Zohour.

Femmes, hommes, enfants, adultes, musulmans ou chrétiens, tout le monde était en fête la semaine dernière. La Journée de la libération du Sinaï, Pâques, et enfin la journée du travail, une grande liste à célébrer. Des soirées et des concerts partout. Le premier arrêt où Al-Ahram Hebdo a fait halte a été le parc chinois au Palais des congrès à Madinet Nasr. Une grande soirée était à l’attente des citoyens, animée par les stars Tamer Hosni et Haïfa Wahbi. Cette dernière, qui a fait son apparition pour la première fois en jean et non pas en robe, était belle comme d’habitude.

Deuxième étape : c’était juste à côté, le club Al-Zohour. Là, se trouvaient Mohamad Hamaqi et Moustapha Qamar. La troisième était au centre-ville, à l’Opéra, où l’on assistait à un autre genre de chant plus artistique ou classique si l’on peut dire : Hani Chaker et Riham Abdel-Hakim. La quatrième était au club Al-Chams qui a réquisitionné une foule de chanteurs : Mohamad Fouad, Samo Zein, Saad Al-Saghir et Somaya Al-Khachab. Pas loin c’était la cinquième pause, bien agitée cependant, à l’hôtel Novotel, là où évoluait Essam Karika. Sixième arrêt : l’hôtel Al-Salam et la belle Miryam Farès y roucoulait. De l’autre côté du Nil et au club Zamalek, c’était la septième station. L’administration du club a choisi le grand chanteur Mohamad Mounir. La huitième était le club du 6 Octobre où il y avait Hamada Hilal et Saad Al-Saghir. Pour nous détendre, on est parti vers la dernière halte qui était au bord de la mer Rouge, à Ras Sedr. C’est le chanteur Rami Sabri qui a réchauffé le public avec son dernier album.

Haïfa au Palais des congrès.

Mohamad Mounir au club Zamalek.

Rami Sabri à Ras Sedr.

Hani Chaker à l’Opéra.

Mohamad Hamaqi au club Al-Zohour.

Photos:
Abdel-Hamid Eid et Sayed Abd-Rabbo


	Bravo à l’équipe d’Al-Guézira
	A la grande salle de l’Opéra du Caire, les rideaux sont tombés pour annoncer la clôture de la 18e session du Festival national du cinéma. Le prix de la meilleure actrice a été remporté par Hind Sabri pour son rôle dans le film Al-Guézira (l’île). Tandis que pour l’interprétation masculine, c’est Ahmad Al-Saqqa qui a remporté le prix. Le prix du meilleur réalisateur est allé à Khaled Youssef pour Hina maysara. Ce film a obtenu aussi le prix de la meilleure production. Les prix ont été remis par Farouk Hosni, ministre de la Culture, et le critique Ali Abou-Chadi, président du festival.
	Photo: Abdel-Hamid Eid

Taha Soliman et des fans de tous les âges.

Le Caire vibre au rythme soudanais

Bien qu’elle soit loin de son pays natal, elle a décidé d’implanter une partie de son pays en Egypte. Il s’agit de la communauté soudanaise qui a invité trois chanteurs soudanais pour animer le premier festival intitulé Al-Maqran. Ces trois chanteurs sont Chourouq Aboulnass, Assiya et Taha Soliman. Presque toute la communauté était présente, à leur tête S.E. M. Idriss Soliman, ambassadeur du Soudan en Egypte, ainsi que le conseiller culturel, Ibrahim Mahmoud.

Photo: Sayed Abd-Rabbo

Se marier en groupe, c’est plus amusant

Ce n’est pas un défilé de robes de noces, mais plutôt un vrai mariage, mais collectif, organisé dans le gouvernorat de Charqiya. 50 couples ont célébré leur union au stade de ce gouvernorat. Ils ont été félicités par Ali Mosselhi, ministre de la Solidarité sociale, et le conseiller Yéhia Abdel-Méguid, gouverneur de Charqiya. Après ces procédures d’usage, Ihab Tewfiq et Helmi Abdel-Baqi sont venus apporter une belle note de musique et de chant.

Photo: Sayed Abd-Rabbo

Heureux qui comme Nihal a fait un beau mariage.

L’amour ne connaît pas d’âge

C’est vrai qu’elle est grand-mère, mais la jeunesse est la jeunesse des cœurs. C’est le cas de l’actrice Nihal Anbar. Celle-ci, bien qu’elle soit une mémé, a décidé de se marier avec l’homme d’affaires Hussein Soliman. Le nouveau couple a été entouré par les membres de la famille, surtout les fils et les petits-fils. Il est à noter que Nihal est l’ex-épouse du musicien Magdi Al-Husseini.

Photo: Abdel-Hamid Eid

Les larmes crèvent le petit écran

Toutes les occasions sont bonnes pour faire la fête.

Domoue fi hodn al-gabal (des larmes au cœur de la montagne), Bint min al-balad di (une fille de ce pays-là) et Domoue al-qamar (les larmes de lune) sont les titres de trois nouveaux feuilletons dont le tournage a commencé cette semaine. Dans le premier, où la scène d’ouverture a été au club Madinet Nasr, on voit Youssef Chaabane, Nermine Al-Fiqi, Waël Nour, Aïda Riyad et Ahmad Abdel-Aziz. Ce feuilleton est réalisé par Achraf Salem, tandis que le scénario est de Hamdi Youssef. Le deuxième a célébré le début du tournage par une réception et une conférence de presse à l’hôtel Four Seasons. Le feuilleton a réuni Dalia Al-Béheiri, Dounia, Ahmad Saïd Abdel-Ghani, Ezzat Abou-Auf, Bassem Samra et Amr Mahmoud Yassine. Il est réalisé par Sami Mohamad Ali sur un scénario de Mohamad Al-Fayzi. Le dernier ou Les Larmes de la lune est réalisé par Essam Chaabane et le scénario de Magdi Salem. La première scène a été tournée dans une villa à Chabramant. Ont participé à ce feuilleton Nour, Hayatem, Abir Sabri, Riyad Al-Khouli et Sandi.

Photos: Abdel-Hamid Eid