Lors de la réunion consultative tenue au
Caire le 29 novembre, l’organisation a
demandé une hausse de 35 % des prix du
baril, sans préciser l’ampleur de la baisse
de production.
Le ministre du Pétrole iraqien, Hussein El
Chehrestani, présent à la réunion de l’Opep
au Caire samedi dernier, explique pourquoi
le cartel estime les prix actuels trop bas.