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 Semaine du 15 au 21 août 2007, numéro 675

 

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Masrahna (notre théâtre), hebdomadaire, Organisme général des Palais de la culture, ministère de la Culture, 32 pages.

Enfin le rêve d’un hebdomadaire exclusivement consacré au théâtre voit le jour. En format tabloïd, Masrahna est présidé par Ahmad Nawwar, président de l’Organisme général des Palais de la culture et dirigé par l’écrivain Yousri Hassan. Il vient combler un véritable manque existant sur la scène. Un mouvement dynamique (festivals, rencontres théâtrales, troupes indépendantes) souffrait ainsi de l’absence d’une lecture critique et d’une couverture médiatique. Malgré l’important espace consacré dans le journal aux variétés, souvent légères, son importance est dans la présentation des pièces d’un point de vue critique, que ce soit celles jouées au Caire ou dans les provinces qui sont normalement oubliées. De plus, le prix de Masrahna d’1 L.E. s’insère dans la politique des Palais de la culture de la démocratisation de la culture.

 

Al-Siyassa wal solta wal logha (la politique et le pouvoir de la langue) de Abdel-Salam Al-Messadi, Al-Dar al-masriya al-libnaniya, 2007, 370 pages.

Le critique et professeur de linguistique tunisien Abdel-Salam Al-Messadi met le doigt dans son nouvel ouvrage sur le grand fossé qui existe entre le pouvoir politique et celui de la langue dont il use pour induire le peuple à l’erreur. La langue qui a, selon lui, un pouvoir impressionnant est utilisée habilement par le politicien de manière à mettre le citoyen hors du contexte qu’il crée, ce qui amène à l’isolement du citoyen et sa mise à l’écart du réel politique. Il affirme que « la langue est un pouvoir en tant que tel, tandis que la politique est le pouvoir en soi et pour soi ».

 

The image, the Icon and the Convenant de Sahar Khalifa, éd. de l’AUC Press du Caire, 2007, 256 pages.

A travers une histoire d’amour, l’écrivaine palestinienne Sahar Khalifa réécrit l’histoire politique et religieuse. En simulant la saga moderne de la Sainte Famille, elle compose une ode lyrique de Jérusalem l’arabe où elle prêche non seulement pour la libération de la patrie, mais aussi celle de l’homme et de la femme. Le lecteur poursuit la quête de l’intellectuel palestinien, Ibrahim, qui, même en agonisant, ne cesse de rechercher sa patrie pour atteindre — au-delà de son succès professionnel — sa véritable réalisation. L’auteure qui est originaire de Naplouse, vivant à cheval entre sa ville natale et Amman, est la lauréate du prix Mahfouz en 2006 qui consiste à traduire en anglais l’œuvre primée.

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