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Rédacteur en chef Mohamed Salmawy
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 Semaine du 7 au 13 novembre 2007, numéro 687

 

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Circulation. Un de nos lecteurs dénonce l’absence de véritables plans pour venir à bout de la congestion continueau Caire.  

Trop c’est trop 

Embouteillage. Le mot est redouté des Cairotes, qui ne savent plus quoi faire pour l’éviter : ne plus aller au travail, ni déposer les enfants à l’école, et rester à la maison ? Car une course d’un quart d’heure prend désormais entre une heure et une heure et demie. Le pire, c’est que le moment de la journée importe peu. Visites officielles ou pas, les embouteillages sont toujours monstres. Ce qui est encore plus incompréhensible, c’est que le prix des voitures est continuellement en hausse, ce qui n’empêche pas les nouveaux modèles de venir bloquer davantage la ville. Donc, nous perdons vraiment beaucoup trop de temps dans les rues à circuler, se garer, ou encore à se quereller lors d’un accident. Pourquoi, par exemple, ne pas penser à instaurer une circulation en alternance, selon que le numéro d’immatriculation de la voiture se termine par un numéro pair ou impair ? Pourquoi ne pas prendre la décision courageuse de placer les administrations et les ministères hors du Caire ? Pourquoi ensuite ne pas se mettre au vélo pour circuler ?

Ahmad Radwane,Le Caire. 

30 000 L.E., adjugé

Je suis une lectrice de Bruxelles depuis des années et j’adore votre magazine qui échappe on ne sait trop pourquoi aux censures bien connues. C’est la raison pour laquelle je réagis à l’article publié dans la rubrique Nulle part ailleurs de votre site Internet et intitulé « 30 000 L.E., adjugé, vendu ». Cela dépasse les descriptions romanesques des Ténardiers de Victor Hugo, et loin de moi l’idée de vilipender l’Egypte pour ces actes. Ce n’est pas un peuple qui est responsable de cet horrible état des choses, c’est bien une politique. J’admire le courage de Hani Hilal, président du Centre des droits de l’enfant égyptien, qui met en accusation le gouvernement à cause de la situation économique désastreuse qui sévit dans le pays et la hausse du côut de la vie. Un état qui a poussé les gens à vendre leurs organes et maintenant leurs enfants comme l’affirme la journaliste. J’espère qu’elle n’aura pas d’ennuis suite à cette dénonciation.

Je me demande bêtement ce que nous pouvons faire, nous les Occidentaux ? Ne plus venir en Egypte ? J’y ai pour ma part renoncé depuis belle lurette à mon corps défendant : les deniers du tourisme n’apportent rien au peuple égyptien, je l’ai remarqué depuis des années. La situation se dégrade alors que les touristes affluent, je ne veux plus pour ma part être le témoin sans voix de l’infortune du plus grand peuple du monde. Mais comme disait Al-Maqrizi : « Lorsque Dieu créa les choses, il joignit une seconde à chacune d’elles ».

Je vais en Syrie dit la raison

Je vais avec toi dit la rébellion

Je vais au désert dit la misère

Je vais avec toi dit la santé

l’Abondance dit, je

vais en Egypte

Je t’accompagne dit la

résignation

Bon courage, de loin hélas.

Marie Claire,Bruxelles.

 

La traite des enfants 

Bravo et merci pour votre excellent article sur la traite des enfants publié dans le numéro 685 d’Al-Ahram Hebdo, par Chahinaz Gheith. Je ne sais pas ce qu’est un mariage orfi. Bonne continuation.

Bruno Bonnefont, France.

 

NDLR : Le mariage orfi est un mariage coutumier, conclu sous la forme d’un simple contrat.

 

Plus d’espaces verts 

Beaucoup de nos enfants souffrent du manque d’espaces verts et d’endroits où prendre proprement l’air. C’est vrai que le nouveau jardin d’Al-Azhar est venu combler ce vide, mais ce n’est pas suffisant. Il faut que de très grands espaces soient réservés à des jardins public propres et accessibles à tous. D’ailleurs, je pense que ce genre de projets permettra, entre autres, de résorber un peu le chômage. Certains diront que le pays connaît des problèmes plus importants et n’a nullement besoin de parcs ici et là. Mais je pense que ce projet d’espaces verts, en s’agrandissant, peut éventuellement résoudre d’autres problèmes économiques et sociaux.

Mona Ahmad,Le Caire. 

Droits et obligations  

Tout d’abord, je tiens à présenter mes sincères félicitations à toute l’équipe d’Al-Ahram Hebdo pour tous les efforts fournis par la rédaction. Je profite de cette occasion qui m’est donnée à travers votre rubrique Courrier pour exprimer mon opinion sur une question très importante qui concerne nombre d’entre nous. Il s’agit du problème des femmes de ménage. Il est vrai qu’avoir une « bonne » chez soi est maintenant devenu très difficile, car les changements sont trop fréquents. Alors si vous le permettez, je propose de créer une association privée ou publique pour contrôler et réglementer le travail des femmes de ménages et autres « nounous ». Ainsi, employeurs comme employées auraient à respecter des droits et obligations, ce qui ferait mieux fonctionner le système.

Imane Hassan,Le Caire. 

 

Djazmina 

A toute l’équipe d’Al-Ahram Hebdo, je viens de découvrir sur Internet votre hebdomadaire que je trouve fort intéressant.

Je faisais une recherche, concernant la publication de poèmes, et j’étais agréablement surprise par les différentes rubriques qui composent votre journal, surtout la rubrique Littérature.

Je suis psychiatre, exerçant à Oran (Algérie), et je m’intéresse à l’écriture, et surtout à la poésie.

J’aimerais contribuer par un poème, que j’ai écrit, pour une amie artiste peintre, également médecin, que j’ai intitulé Djazmina.

                Djamila  

A toi Djazmina, qui m’a tant encouragée

pour écrire.

Je dédie ces paroles qui, j’espère,

te font plaisir.

Ma rencontre avec toi

n’a jamais été un hasard.

Mais une volonté divine

qui a exaucé mon désir.

L’artiste que tu es a réussi à me séduire.

Avec tant de qualités humaines,

que ton personnage inspire.

Paix de l’âme, confiance et douceur

ne peuvent que t’élire.

Dans un monde où il y a tant de rudesse

et de choses à bannir.

Allah t’a privilégiée avec ces dons.

 

Profites-en et déploie tes forces pour les saisir.

Produis, crée, et espère qu’à l’avenir.

Beaucoup de cœurs seront à conquérir

Le médecin que tu es, avec tant d’humanité.

Et de générosité, tes patients t’admirent.

Djazmina, je te sens et je partage

tes émotions, avec ferveur et passion.

En amitié, le plaisir est de partager sans faillir.

Les joies et les peines sont les compagnes

Constantes de notre vie, sans qu’on puisse

les choisir.

Djazmina, tu portes si bien ton prénom.

Inspiré de jasmin, tes parents ont

su le prédire.

Fleur reine de la parfumerie,

aux grandes vertus.

Où amabilité, et bonté sont prêtes à fleurir.

C’était ma dédicace, et ce que

ma plume a pu produire.

Venant de l’intérieur, où cœur

et âme me font frémir.

Djamila El khayari, Psychiatre à Oran, Algérie.

 




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