Al-Ahram Hebdo, Echangez, écrivez | Pas touche toc-toc
  Président Morsi Attalla
 
Rédacteur en chef Mohamed Salmawy
Nos Archives

 Semaine du 28 novembre au 4 décembre, numéro 690

 

Contactez-nous Version imprimable

  Une

  Evénement

  Enquête

  Dossier

  Nulle part ailleurs

  Invité

  Egypte

  Economie

  Monde Arabe

  Afrique

  Monde

  Opinion

  Société

  Arts

  Idées

  Littérature

  Visages

  Environnement

  Voyages

  Sports

  Vie mondaine

  Echangez, écrivez



  AGENDA


Publicité
Abonnement
 
Echangez, écrivez

Transports. Un de nos lecteurs défend l’utilité des toc-toc, récemment interdits de circulation, et propose même leur généralisation.

Pas touche toc-toc

En ce moment, on entend beaucoup parler des toc-toc et je me demande pourquoi on ne laisse pas leurs propriétaires travailler tranquillement, car c’est un véhicule qui s’est imposé en quelques années comme un moyen de transport des plus pratiques.

Depuis plusieurs jours maintenant, je vois à la télévision des chauffeurs de toc-toc qui manifestent contre ces responsables qui ne veulent pas leur accorder les autorisations de circulation nécessaires. Bien plus, il semble qu’ils veulent leur confisquer leur toc-toc. Alors que l’importation est autorisée, il est maintenant devenu impossible d’obtenir un permis de circuler. Difficile à comprendre ... Et cela à un moment où des millions de personnes cherchent du travail. Les responsables gouvernementaux font donc tout pour leur rendre la vie impossible. Pourtant, le chômage a peut-être baissé grâce au toc-toc, incitant des jeunes à monter une petite affaire au lieu de commettre des délits ou de s’adonner à la drogue.

De nombreuses personnes préfèrent le toc-toc car plus accessible, plus rapide et surtout capable de se faufiler partout et j’estime qu’étant donné la place importante acquise par ce mode de transport dans certaines zones urbanisées du pays, ils doivent être généralisés ... mais encadrés pour éviter toute anarchie. Car il est vrai que beaucoup de vols à la tire sont aussi commis par des jeunes qui s’enfuient ensuite en toc-toc. Ce genre d’incident est certes fréquent. Mais si ces véhicules étaient immatriculés, cela rendrait plus facile les poursuites.

En conclusion, je dirais que les toc-toc ont toute leur place dans les provinces du pays et au Caire. Mais des règles plus claires doivent être édictées pour leur exploitation, cela permettra davantage d’activité économique.

Youssef Ghanem,
Le Caire.

Circuler en alternance ? Impossible !

Je voudrais tout d’abord saluer les responsables de la page Courrier pour la variété des sujets choisis ainsi que les photos qui accompagnent toujours la lettre principale. Ensuite, concernant la lettre « Une circulation en alternance » (en fonction du numéro d’immatriculation du véhicule), publiée dans le numéro 689 d’Al-Ahram Hebdo, j’exprime de fortes réserves pour cette solution, car je pense qu’il est impossible de réaliser une chose pareille en Egypte.

Par contre, je suis d’accord lorsqu’il dit qu’il s’agit de mauvaises habitudes de chacun.

 Je dirais même que ce sont les habitudes de toute une culture qui doivent changer.

Mais quand et comment ?

C’est la grande question qui reste pour l’instant sans réponse.

Mona Hussein,
Le Caire.

 

Toujours la même chose

Rien à faire. Toujours pareil. Comme dans toutes les élections en Egypte, je constate avec regret qu’il y a eu des batailles et des disputes lors du scrutin qui a eu lieu au Syndicat des journalistes. C’était moche de voir cela. Est-ce vraiment si difficile de voir un jour en Egypte des élections sans bagarres, ni baltaguis comme cela a été le cas au moment des dernières élections présidentielles et législatives ? Quel que soit le scrutin, le problème est toujours le même. C’est que nous ne savons pas discuter ni mener un dialogue.

Karim Fahmi,
Le Caire.

 

De la prévention, et vite ...

Il semble que nous avons dans notre pays l’Egypte près de 6 millions de toxicomanes. Chiffre énorme qui fait peur, car en fait, c’est près de 8,5 % de la population. Un problème très grave dont beaucoup de responsables n’ont pas encore pris conscience, malheureusement. Ce qui est encore plus grave, c’est que notre pays est devenu consommateur ou producteur de toutes sortes de drogues : bango (cannabis local), haschich, cocaïne, et héroïne. L’avenir de notre pays est menacé de ce genre de fléau qui touche beaucoup les jeunes. Alors pensons à la prévention avant qu’il ne soit trop tard.

Ayman Salah,
Le Caire.

Exit les vieux taxis !

Je voudrais féliciter l’ensemble de votre équipe pour tous les articles, reportages et analyses présentés dans votre hebdomadaire Al-Ahram Hebdo. Aujourd’hui, je souhaite parler d’un sujet très important, celui des taxis en très mauvais état qui circulent dans nos rues librement sans aucun contrôle. En effet, comme beaucoup d’autres citoyens de ce pays, je souhaite que les taxis qui datent des années 1940 et 50 soient mis hors service. C’est très dangereux que ces taxis circulent encore dans nos rues. Il faut aider les conducteurs qui n’ont pas les moyens d’acheter un nouveau taxi, à crédit, pour pouvoir être en sécurité. Car les taxis qu’ils conduisent actuellement ne correspondent nullement aux normes de sécurité. Tout le monde est en danger : le chauffeur, les passagers et même les autres voitures dans les rues de la capitale. Alors faisons quelque chose pour permettre une meilleure protection pour tout le monde.

Marawan Mohamed,
Le Caire.

Annapolis ou pas ...

Les Arabes ont fait Camp David, Camp David I, Camp David II, Oslo, et beaucoup d’autres réunions, conférences et sommets. Et pourtant, pas de résultat. Rien n’a été fait pour le peuple palestinien. Y a-t-il eu création d’un Etat palestinien indépendant ?

Est-ce que la question des réfugiés a été résolue ?

Rien. Rien. Rien.

Malgré cela, on va pour la millième fois aller aux Etats-Unis pour soi-disant discuter avec les autres parties concernées par l’éternelle question du conflit israélo-palestinien.

Que font les Arabes dans ces sommets où il ne se passe rien de bon pour eux ?

Prendre des photos, rencontrer le vieil « ami » Bush qui, à mon avis, sera de toute façon le seul gagnant de ces éternels sommets ...

Voilà tout ce qui se passe là-bas.

Que font les Arabes ? Où sont-ils ?

Pourquoi l’idée de la nation s’évanouit-elle à l’heure où nous en avons le plus besoin ?

Je pense en toute réalité qu’Annapolis ou pas, le résultat sera toujours le même.

Je ne sais vraiment pas quand nous cesserons d’être spectateurs de ce qui nous concerne directement. Qu’attendons-nous ?

Ahmad Al-Masri,
Le Caire.

 

Regrets et déception

Je regrette ce qui s’est passé le jour du match entre les équipes d’Ahli et d’Al-Najm le 9 novembre 2007. Je ne regrette pas la victoire, car nous l’avons méritée sans aucun doute. Mais ce qui s’est passé juste après le match m’a beaucoup étonné et déçu à la fois. Le peuple tunisien a été étonné du comportement d’un public qui n’a respecté ni ses visiteurs, ni son président de club, ni même la présence du président de la République. Franchement, c’était une humiliation et je crois que ça restera gravé, car le public égyptien a toujours fait preuve de patriotisme un peu excessif. C’était un point de vue modeste d’un Tunisien qui a le sens du patriotisme, mais surtout les bonnes manières.

Kais Ouji,
France.

 




Equipe du journal électronique:
Equipe éditoriale: Névine Kamel- Howaïda Salah - Chourouq Chimy
Assistant technique: Karim Farouk
Webmaster: Samah Ziad

Droits de reproduction et de diffusion réservés. © AL-AHRAM Hebdo
Usage strictement personnel.
L'utilisateur du site reconnaît avoir pris connaissance de la Licence

de droits d'usage, en accepter et en respecter les dispositions.