Les articles de Marwa Hussein

S.E. M. Marc Baréty, ambassadeur de France en Egypte, revient sur les relations économiques entre l’Egypte et la France, l’environnement des affaires et les investissements français en Egypte. Entretien.

Le gouvernement procède à l’importation de grandes quantités de poulet et de riz pour augmenter l’offre et faire baisser les prix de ces deux produits de base.

Le gouvernement a annoncé une série de mesures financières, dont une hausse des salaires du secteur public et des pensions, pour pallier les effets de l’inflation et de la dévaluation de la monnaie nationale.

Le gouvernement a annoncé son plan de vendre d’ici un an des parts dans 32 entreprises publiques, dont certaines appartiennent aux forces armées.

Le Fonds souverain d’Egypte a signé deux accords d’investissement de 2 milliards de L.E. dans le secteur de la santé. D’autres accords sont attendus.

La livre égyptienne s’est relativement rétablie face au dollar après une chute considérable due au flottement. Celui-ci a permis d’attirer des dollars sur le marché égyptien après une période de pénurie. Explications.

Les investissements directs étrangers ont marqué une hausse considérable l’année passée. Une tendance qui devrait se poursuivre en 2023.

Le gouvernement égyptien a annoncé un taux de croissance de 4,4% pour le trimestre juillet-septembre 2022. Il prévoit une croissance de 5% pour l’ensemble de l’année fiscale.

Malgré les contraintes qu’elle impose aux activités économiques et commerciales, la crise mondiale offre des opportunités à certains secteurs en Egypte. Au secteur privé de les saisir.

Plusieurs secteurs économiques ont réalisé des résultats financiers solides.

Le 27 octobre, le gouvernement a pris une série de décisions économiques importantes, dont l’application d’un système flexible de change, la hausse des taux d’intérêt et des mesures sociales pour alléger l’impact des réformes économiques, convenues dans l'accord de financement avec le Fonds monétaire international. Dossier.

Le renforcement du rôle du secteur privé dans l’économie égyptienne était le point central des discussions au cours de la deuxième journée de la Conférence économique.

Dans le but de conserver et d’attirer les devises étrangères, des banques égyptiennes ont imposé des limites sur l’usage des cartes bancaires à l’étranger et levé les taux d’intérêt sur les certificats de dépôt en dollars.

Réuni jeudi, le comité des politiques de la Banque Centrale d’Egypte (BCE) a décidé de maintenir les taux d’intérêt directeurs inchangés. Il a toutefois relevé les ratios des réserves obligatoires des banques. Explications.

Des changements limités ont touché le groupe économique. Il s’agit des deux ministres qui gèrent les dossiers de la privatisation et de la localisation d’industries, le but étant d’assurer de nouveaux revenus en devises.

L’Arabie saoudite a établi une société pour gérer ses investissements en Egypte. La mesure vise à encourager les investissements du Fonds souverain saoudite, ainsi que ceux des sociétés privées.

La deuxième réunion du Comité supérieur de partenariat industriel entre l’Egypte, les Emirats arabes unis et la Jordanie s’est tenue au Caire lundi 25 juillet. Objectif : consolider la coopération entre les pays membres. Compte rendu.

Michel Oldenburg, chef du Service économique de l’ambassade de France en Egypte, parle de la présence économique française en Egypte.

La décision de la Réserve fédérale américaine d’augmenter les taux d’intérêt plus que prévu laisse les économistes divisés sur la réaction de la Banque Centrale d’Egypte (BCE), lors de sa réunion du 23 juin.

COP27 : Récemment en visite au Caire, Ambroise Fayolle, vice-président de la Banque Européenne d’Investissement (BEI), évoque les questions liées à l’environnement et aux préparatifs de la COP27.

1 2