Jeudi, 25 avril 2024

 Les articles de Hicham Mourad

Les Etats-Unis tentent, sans convaincre, de prendre une position plus équilibrée sur la guerre meurtrière que mène Israël contre la bande de Gaza.

Au moment où le président américain, Joe Biden, se rendait en Israël pour afficher son ferme soutien au pays, le président russe, Vladimir Poutine, était en Chine, où il a affiché leur communauté de vues sur l’escalade de la violence au Proche-Orient.

L’offensive sans précédent du 7 octobre menée par le mouvement palestinien Hamas contre Israël constitue sans doute un tournant dans le conflit du Proche-Orient.

Le fonds souverain ADQ, des Emirats Arabes Unis (EAU), serait en pourparler avec la Turquie pour construire un chemin de fer sur le Bosphore à Istanbul.

En début d’après-midi du samedi 6 octobre 1973, le jour le plus saint du calendrier juif, les armées d’Egypte et de Syrie ont lancé une attaque surprise coordonnée contre Israël, déclenchant la guerre la plus dévastatrice que l’Etat hébreu ait jamais connue au cours de son existence.

Washington envisage de conclure des traités de défense avec l’Arabie saoudite et Israël en vue de les pousser à faire les concessions nécessaires pour une normalisation de leurs relations.

Au terme du sommet du G20, le président américain, Joe Biden, et le premier ministre indien, Narendra Modi, ont solennellement annoncé, le 9 septembre, le lancement du Corridor économique Inde-Moyen-Orient-Europe (IMEC).

La réconciliation entre la Syrie et la Turquie est en lambeaux.

A peine un mois après que l’armée au Niger avait renversé le président, son homologue au Gabon a pris le pouvoir le 30 août, portant à neuf le nombre de coups d’Etat militaires en Afrique subsaharienne depuis 2020.

Le groupe des BRICS (Chine, Russie, Inde, Brésil et Afrique du Sud) a accepté le 24 août l’adhésion de six nouveaux pays : l’Arabie saoudite, l’Egypte, les Emirats Arabes Unis (EAU), l’Iran, l’Argentine et l’Ethiopie, dans le but de restructurer un ordre mondial qu’il considère dépassé, ne reflétant pas l’existence de puissances émergentes.

La capitale libyenne a retrouvé le calme le 16 août après avoir subi les pires affrontements armés en un an, faisant 55 morts et 146 blessés.

Alors que les Etats-Unis ont mis le cap sur la région de l’Indo-Pacifique et, de ce fait, se sont progressivement désengagés du Moyen-Orient, la Chine est devenue un acteur incontournable dans ce dernier, remodelant la dynamique régionale grâce à son implication accrue. Les

La tension monte entre le Koweït et l’Arabie saoudite d’un côté, et l’Iran de l’autre, autour du champ gazier offshore d’Al-Durra, situé au nord-ouest du Golfe.

L’Italie a organisé le 23 juillet une conférence sur « Le développement et la migration » qui a réuni des dirigeants de plus de 20 pays de l’Afrique du Nord et subsaharienne et du Moyen-Orient, pour élaborer une approche plus efficace de la question migratoire.

Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, a achevé le 21 juillet sa première visite en Chine, où il est allé chercher, entre autres, le soutien de Pékin à la demande de son pays d’adhérer aux BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud).

L’Egypte a réuni au Caire le 13 juillet les pays voisins du Soudan afin d’obtenir leur soutien à son initiative de paix, stipulant l’établissement d’un cessez le- feu durable, la création de couloirs sûrs pour l’acheminement de l’aide humanitaire et la mise en place d’un cadre de dialogue qui inclurait toutes les parties prenantes soudanaises.

Du 22 au 23 juin, le président Abdel-Fattah Al-Sissi s’est rendu en France pour participer au sommet « Pour un nouveau pacte financier mondial ».

Les Etats-Unis et l’Iran seraient sur le point de parvenir à un accord informel sur le dossier nucléaire.

L’Iraq et la Chine ont tenu une série de réunions à Bagdad, début juin, en vue d’élargir l’accord-cadre de septembre 2019 « Pétrole contre reconstruction », qui prévoit la construction par Pékin d’infrastructures financées par le paiement différé de vente de pétrole iraqien à la Chine.

Dans une tentative d’apaiser la tension entre leurs pays, le conseiller présidentiel américain à la sécurité nationale, Jake Sullivan, et son homologue émirati, Tahnoun bin Zayed, ont tenu une réunion, le 3 juin à Washington, où ils ont souligné « le partenariat stratégique » entre les Etats-Unis et les Emirats Arabes Unis (EAU).

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