Vendredi, 29 mars 2024

 Les articles de Abir Taleb

Les différents fronts de l’« Axe de la résistance » connaissent un sérieux regain de tension. Pour autant, l’Iran mène un jeu bien prudent et a ses propres calculs.

La guerre a repris de plus belle à la suite de l’expiration de la trêve humanitaire qui a duré sept jours et qui a permis l’échange de détenus. Israël concentre désormais ses opérations dans le sud de la bande de Gaza.

Parmi les milliers de Palestiniens détenus dans les prisons israéliennes, certains noms se font connaître plus que d’autres. Focus.

Une grande majorité de mineurs figure parmi les Palestiniens jugés « libérables » par Israël. Car les prisons israéliennes regorgent d’enfants palestiniens.

Avant cet accord, cinq autres grandes opérations d’échange de prisonniers ont eu lieu ces 40 dernières années.Chronologie.

Un Palestinien sur cinq est passé, au moins une fois au courant de sa vie, par les geôles israéliennes. De quoi faire de la question de l’échange des prisonniers un thème central dans les relations israélo-palestiniennes.

La trêve à Gaza a été prolongée jusqu’à ce jeudi 30 novembre, ce qui permet la libération de davantage de détenus de part et d’autre. Mais la guerre, elle, est loin d’être finie.

Une trêve de quelques jours en contrepartie d’un échange de détenus entre le Hamas et Israël, tels seraient les termes d’un accord sur le point d’être conclu. Un deal qui ne signifie en aucun cas la fin de la guerre à Gaza.

D’un appui total à Israël à de timides appels à des « pauses humanitaires », les pays occidentaux tentent, chacun à sa manière, de jouer les équilibristes. Mais le reproche de « deux poids, deux mesures » leur colle à la peau.

La guerre continue de faire rage à Gaza, où plus de 10 000 civils ont déjà perdu la vie. Israël exclut à nouveau tout cessez-le-feu et envisage même de reprendre la « responsabilité globale de la sécurité » de la bande de Gaza après la guerre.

De plus en plus de voix s’élèvent contre les violations, par Israël, du droit international humanitaire. L’heure de rendre des comptes n’a cependant pas encore sonné.

Israël a commencé ses premières incursions terrestres à Gaza tout en intensifiant ses frappes aériennes. A défaut de pouvoir arrêter la machine de guerre israélienne, la communauté internationale plaide, timidement, pour une trêve humanitaire.

La solution à deux Etats est revenue sur le devant de la scène Mais alors que tout le monde s’accorde sur la nécessité d’ouvrir cette perspective politique, cette solution paraît aussi indispensable qu’irréalisable.

L’Onu et plusieurs ONG alertent sur la situation catastrophique qui prévaut à Gaza et sur le risque d’une grave crise humanitaire.

L’offensive israélienne contre Gaza se poursuit avec une intensification des frappes et des préparatifs pour une opération terrestre. Une opération dont les contours restent flous, mais dont les conséquences risquent d’être désastreuses et font craindre un embrasement de la région.

Israël poursuit son offensive aérienne et continue de mobiliser ses troupes aux abords de Gaza en vue d’une probable opération terrestre. Au risque d’embraser la région.

Bakou et Erevan doivent prochainement entamer des discussions sous l’égide de l’UE pour tenter de réduire les tensions du Haut-Karabakh. Une enclave dont la reprise par l’Azerbaïdjan suscite aussi des inquiétudes régionales et internationales.

La situation reste explosive dans la bande de Gaza où Israël livre une guerre sans merci en riposte à l’attaque du Hamas. Une guerre aux conséquences potentiellement désastreuses et aux dimensions incommensurables.

Au-delà de la victoire militaire, la guerre d’Octobre a profondément refaçonné le Moyen-Orient, modifié les priorités des uns et des autres et réorganisé les équilibres géopolitiques. Analyse.

Les travaux de l’Assemblée générale de l’Onu ont pris fin cette semaine après plusieurs jours d’intenses débats où chacun a livré sa vision des choses. Compte-rendu.

 1 2 3 4 5