Plus que jamais déterminé à contrer l’influence iranienne dans la région, Washington revoit sa stratégie en Syrie et ne prévoit aucun retrait de ses troupes sans un départ de la présence iranienne.
Les manoeuvres égypto-américaines Bright Star se déroulent en Egypte du 8 au 20 septembre. Elles reflètent le rapprochement politique entre Le Caire et Washington.
Avec l’entrée en vigueur des nouvelles sanctions américaines contre la Russie le 22 août, les tensions augmentent entre Washington et Moscou, opposés sur de nombreux contentieux.
Les relations entre la Turquie et les Etats-Unis sont au plus bas. Outre la crise du pasteur américain Andrew Brunson, les pommes de discorde sont nombreuses entre les deux alliés de l’Otan.
Les déclarations hostiles entre Washington et Téhéran se font de plus en plus virulentes. Des menaces et contre-menaces qui interviennent alors que le retour des sanctions américaines contre l’Iran doit se faire par étapes à compter du mois d’août.
L’Administration américaine a rétabli une aide militaire de 195 millions de dollars destinée à l’Egypte, et gelée depuis 2017. Une décision qui reflète l’importance du Caire dans la politique régionale des Etats-Unis.
Trump et Poutine se sont retrouvés en sommet à Helsinki. L’occasion de se rapprocher en dépit des contentieux innombrables entre Washington et Moscou. La Russie est pourtant encore loin de céder sa place d’« ennemi stratégique » des Américains.
Les forces du régime syrien progressent face aux rebelles dans la province de Deraa, dans le sud du pays. Appuyées par Moscou, ces forces se préparent à lancer l’assaut final pour reprendre cette région contrôlée par des rebelles soutenus par Washington.
Les forces de Damas ont réussi à chasser les djihadistes de Daech qui avaient lancé une nouvelle offensive contre la ville de Boukamal.
Alors que les Européens tentent une opération de sauvetage miraculeuse de l’accord nucléaire iranien, la tension ne cesse d’augmenter entre Washington et Téhéran.