Mohamad Al-Mansi Qandil appartient aux écrivains de la génération des années 1970. Même s’il a souvent vécu à l’étranger, il est resté en lien avec le pays et son histoire qui lui a inspiré quelques-uns de ses meilleurs romans. Entretien.

Voix arabes est une initiative culturelle soutenue par l’Union européenne afin de promouvoir la traduction d’ouvrages égyptiens récemment publiés. Un premier catalogue en anglais, regrou­pant une sélection de romans, sera présenté au Salon du livre de Francfort le 15 octobre.

Ecrivaine et dentiste, Rasha Samir a toujours donné la parole aux femmes dans ses romans et nouvelles et tente même de faire parler les hommes. Elle est l’auteure d’un best-seller,Gawari Al-Echq (esclaves de l’amour), aujourd’hui à sa 13^e édition.

Cette année, on célèbre le centenaire de la naissance d’Ehsan Abdel-Qoddous, né en 1919. Journaliste et écrivain engagé, il est connu dans le Proche-Orient et au Maghreb pour ses recueils de nouvelles, ses romans ainsi que pour les adaptations qui en ont été faites, tant au cinéma qu’à la radio et télévision égyptiennes.

Longtemps attendu, un musée dédié à Naguib Mahfouz a ouvert ses portes cette semaine à la tékiya de Mohamad Beik Aboul-Dahab. Cet édifice est situé dans le quartier d’Al-Azhar, qui a servi de cadre à de nombreux romans du célèbre écrivain égyptien.

Dans un entretien accordé à Al-Ahram Hebdo, Fawzia Al-Ashmawi, ancienne professeure de littérature arabe moderne à l’Université de Genève, évoque la célébration des 30 ans de la remise du prix Nobel à Naguib Mahfouz et sa thèse de doctorat en lien avec l’auteur.

C’est en larmes que les jeunes lecteurs d'Ahmad Khaled Tewfiq ont fait leurs adieux à l'auteur du best-seller Utopia, décédé à l’âge de cinquante-cinq ans. Avec ses romans d’horreur et de science-fiction, Tewfiq a marqué toute une génération.

Sameh Fathi, écrivain amoureux de cinéma, s’attarde dans son livre Naguib Mahfouz entre romans et films sur l’adaptation au cinéma de quelque 18 romans du Nobel égyptien.

Difficile de parler du Caire khédivial, fêtant aujourd’hui 150 ans, sans tomber dans la nostalgie généralisée pour cette belle époque. Le centre-ville possède toujours son charme délabré. Ses façades aux styles éclectiques (néo-classique, Art déco, etc.), ses passages, ses places et ses zones pié­tonnes se prêtent à faire l’arrière-plan de romans.

Difficile de parler du Caire khédivial, fêtant aujourd’hui 150 ans, sans tomber dans la nostalgie généralisée pour cette belle époque. Le centre-ville possède toujours son charme délabré. Ses façades aux styles éclectiques (néo-classique, Art déco, etc.), ses passages, ses places et ses zones pié­tonnes se prêtent à faire l’arrière-plan de romans.

Michel Butor a laissé derrière lui une oeuvre copieuse où s'entremêlent romans, poésies, écrits sur l’art et textes expérimentaux. Retour sur le parcours d'un écrivain qui échappe à toute classification.

Après avoir longtemps travaillé dans le management, et en tant que chercheur dans l’industrie pétrolière, Amr Kamal Hammouda s’attelle à l’écriture et rédige deux romans : Camélia et le Bekbachi en 2010 et Al-Semsar (l’agent immobilier) en 2016. Roman qui dévoile les rouages de la corruption.

Le concept de « La Terre, c’est l’honneur », enraciné dans l’âme égyptienne et slogan de récentes manifestations, est abordé dans les romans et la poésie. Il exprime la défense des terrains agricoles contre les agresseurs et celle de la patrie contre l’occupant.