Trois questions à Bahia Al-Mardini, opposante syrienne et membre du mouvement Al-Ghad.

Alors que les prochaines négociations intersyriennes devraient se faire directement entre l'opposition et le régime, Washington a déclaré ne plus faire du départ de Bachar Al-Assad une priorité, de quoi augmenter la pression sur l'opposition.

Profitant de son influence auprès des dirigeants libyens, la Russie essaye de jouer un rôle important pour régler la crise libyenne

Israël et la Syrie ont connu cette semaine leurs plus violents accrochages depuis 2011. La tension est à son comble.

Cinq mois après les législatives, le roi du Maroc, Mohammed VI, a confié à l'islamiste Saad-Eddine El Othmani la mission de former un nouveau gouvernement pour sortir de la crise politique.

Le croissant pétrolier libyen, dont le contrôle est hautement stratégique, est à nouveau le théâtre de combats entre des groupes armés et les forces du maréchal Khalifa Haftar.

Les forces iraqiennes avancent d'un pas sûr et rapide dans leur offensive lancée il y a quatre mois pour reprendre la totalité de Mossoul, la deuxième ville du pays, sous le contrôle de l'Etat islamique depuis deux ans et demi.

L'implantation de l'Etat Islamique (EI) au Pakistan inquiète au plus haut les autorités pakistanaises, qui promettent de lutter contre les forces hostiles et de venger leurs victimes.

Après une certaine pause, la bataille pour récupérer la ville de Mossoul des mains de l'EI a recommencé. Mais face à une résistance acharnée des djihadistes, la reprise de la ville prendra sans doute plus de temps qu'initialement prévu.

L'année 2016 s'est achevée sur trois événements majeurs dans les lignes de front au Monde arabe : la reprise d'Alep en Syrie, la libération de Syrte des mains de l'EI en Libye, et un changement d'équilibre au Yémen. De quoi donner lieu à des prévisions autant floues que complexes.