Les joueurs égyptiens évoluant en Europe n’ont pas brillé en 2012, à l’exception de Mohamad Salah, auteur d’une bonne saison avec l’équipe suisse de Basel. La situation est toute autre dans les pays du Golfe, où les Egyptiens semblent mieux réussir.
Condamnés ouvertement par les Emirats arabes unis, mais forts du soutien historique du Qatar, leurs relations avec les pays du Golfe sont encore en gestation.