Les 16es de finale des compétitions africaines ont débuté, le week-end dernier. Dans le quartet égyptien, si Ahli et Zamalek sont sortis vainqueurs en matchs allers, Smouha et Petrojet se sont inclinés. Mais tout est encore possible.

2 000 L.E., c'est à peu près ce que demande Al-Jazeera pour pouvoir suivre le Mondial. Pour réduire la facture, certains passent par des chaînes allemandes ou même israéliennes. Mais un point fait l’unanimité : regarder les matchs devrait être un droit pour tous.

Les quatre représentants de l’Egypte aux interclubs africains (Ahli, Zamalek, Ismaïli et Wadi Degla) ont tous convaincu cette semaine, lors des matchs aller des 16es de finale.

Depuis deux ans, le football égyptien se meurt. Plusieurs clubs sont au bord de la faillite, les joueurs ne sont plus payés tandis que les matchs et les programmes télés sont annulés. Au-delà des enjeux sécuritaires, c'est l'avenir d'une industrie pesant des milliards de livres qui est en jeu.

Samedi 2, Ahli rencontrera les Sud-Africains d’Orlando Pirates pour le match aller de la finale de la Ligue des champions d’Afrique. Les Rouges visent un huitième titre continental.

Suite à leur nul lors des matchs aller, Ahli, Ismaïli et Enppi, représentants de l’Egypte dans les compétitions africaines interclubs, feront tout pour se qualifier au tour suivant lors des matchs retour ce week-end.

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