La majorité des patients atteints du coronavirus sont conseillés de se soigner à la maison. Dr Fatma Elshikh, membre d’une équipe de médecins qui se sont dédiés au suivi de ces cas, donne quelques explications.

Un avion transportant un premier lot de vaccins contre le coronavirus a atterri jeudi 10 décembre à l’aéroport du Caire. Les médecins et soignants seront les premiers à en profiter, suivis par d’autres catégories de citoyens vulnérables.

On les surnomme « médecins des pauvres ». Mohamad Machali, qui vient de nous quitter, Emad Al-Guirgawi, Mégahed Moustapha, Essam Tadros et Sayed Choukri, des exemples parmi tant d’autres de médecins exceptionnels, modèles de dévouement et de loyauté, qui délais­sent gloire et fortune pour consacrer leur vie au service des patients nécessiteux. Focus.

Après une baisse régulière ces dernières semaines, le nombre quotidien de contaminations au coronavirus a connu un léger rebond en Egypte. Les médecins excluent l’hypothèse d’une deuxième vague de Covid-19 et soulignent un relâchement au niveau des gestes barrières.

Avec la propagation du coronavirus, les cabines de désinfection sont de plus en plus utilisées dans les bâtiments et les lieux publics, souvent sous l’oeil sceptique des médecins. Explications.

Avec la propagation du Covid-19, les patients, réticents à consulter de peur d’attraper le virus, ont découvert la téléconsultation. Les médecins s’y sont prêtés volontiers, mais non sans réserves.

Le gouvernement a répondu aux demandes de l’ordre des Médecins, notamment en ce qui concerne la livraison rapide du matériel de protection contre le Covid-19 destiné au corps médical. Objectif : permettre au personnel soignant d’accomplir sa mission dans les meilleures conditions possibles.

Depuis la flam­bée épidémique du Covid-19, une armée de médecins, d’in­firmiers et de soignants s’oc­cupe de patients infec­tés par le virus et tente de l’empêcher de proliférer. Les équipes médi­cales se retrou­vent ainsi sur le front d’une guerre qu’elles mènent avec bravoure. Témoignages.

C’est en blouses blanches que le conseil de rédaction d’Al-Ahram a tenu, jeudi 2 avril, sa conférence de rédaction en guise de solidarité avec les médecins et le personnel soignant, en première ligne face au coronavirus.

En attendant la bonne formule, les médecins testent une panoplie de médicaments sur des patients atteints du coronavirus.

L'ordre des Médecins s'est opposé au nouveau système d'internat des médecins, préparé par le ministère de la Santé. Ihab Al-Taher, secrétaire général de l’ordre, revient sur ce refus et livre sa vision sur l’amélioration du statut des médecins.

Le courant de l'indépendance a remporté les élections de mi-mandat de l’ordre des Médecins. Hussein Khaïri a été élu, pour la deuxième fois, président de l’ordre.

La rue marchande du 26 Juillet, en plein Caire haussmannien, est fermée pendant un an à la circulation à cause des travaux du métro souterrain. Habitants, commerces, passants, cabinets de médecins s'adaptent, bon gré mal gré, à cette situation, en recourant au système D.

Le ministère de la Santé a achevé le nouveau projet de loi sur l'assurance médicale, dont une copie a été envoyée à l’ordre des Médecins à titre consultatif. Ihab Al-Taher, secrétaire général de l'ordre, commente le nouveau texte.

L'agression de deux médecins par des agents de police, au Centre hospitalier universitaire de Matariya, a soulevé la colère de l'ordre des Médecins, qui a convoqué une assemblée générale le 12 février.

Exposés quotidiennement aux risques de contamination, médecins, infirmiers et personnel paramédical réclament davantage de protection.

Kobané et Nalin, la femme qui y conduit les combats contre Daech, les Ukrainiennes qui rejoignent ce dernier, et des médecins froidement exécutés. C’est le regard de la presse cette semaine.

Le ministre de la Santé, Adel Adawi, évoque le plan du gouvernement pour réformer ce secteur en Egypte. Il parle de la négligence dans les hôpitaux, la corruption et le statut salarial des médecins.

De plus en plus demandés, les médecins des urgences travaillent dans des conditions difficiles. Mal rémunérés, on leur fait porter la responsabilité des décès des patients.