Aujourd’hui, nous sommes témoins de l’agonie de l’ordre mondial, mais nous ne savons ni combien de temps ce processus durera, ni les événements qui surviendront.

L’Arabie saoudite et la Syrie se préparaient à reprendre leurs relations diplomatiques après l’Aïd Al-Fitr, la fête musulmane du petit Baïram, dans la deuxième quinzaine d’avril.

Avec l’accord saoudo-iranien, l’annonce d’un rétablissement imminent des relations égyptoturques et la visite, cette semaine, du président syrien, Bachar Al-Assad, aux Emirats arabes unis, la carte géopolitique du Moyen-Orient est en passe de changer.

Lorsque l’Arabie saoudite et l’Iran ont annoncé, le 10 mars, le rétablissement de leurs relations diplomatiques, une grande partie du monde a été stupéfaite, non seulement à cause de cette percée inattendue après de longues années d’animosité, mais également en raison de la tierce partie qui a parrainé la réconciliation, la Chine: une première au Moyen-Orient.

Pendant les fêtes, les Chinois souhaitent aux autres de vivre des moments excitants.

Le chiffre publié par l’ordre des Médecins sur les médecins qui ont émigré d’Egypte au cours des trois dernières années est effrayant. Il s’agit de 11000 médecins.

Les Etats-unis et Israël ont récemment tenu une série de discussions de haut niveau centrées sur les moyens d’empêcher l’Iran d’acquérir l’arme nucléaire.

Selon un célèbre proverbe dans les cultures orientales et occidentales, « il ne faut pas mettre tous les oeufs dans le même panier ».

L’Afrique du Sud a décidé de réduire sa représentation diplomatique en Israël du niveau de l’ambassade à celui d’un bureau de relations.