« Le Dialogue national est l’occasion de discuter de ce qui préoccupe l’opinion publique, en particulier à ce stade critique et à la lumière des récents développements régionaux et internationaux. Je participe non seulement en tant que chef du comité des 50, mais aussi en tant que citoyen concerné qui comprend les défis auxquels l’Egypte est confrontée. Nous sommes confrontés à une situation dangereuse qui nous oblige à parler franchement et à écouter toutes les opinions, comme a dit le président Sissi. Le chemin est ardu et les défis sont sans précédent. Ces défis ne sont pas seulement externes et certains d’entre eux résultent d’erreurs internes qui doivent être corrigées ».
Amr Moussa, président du Comité des 50 (qui a rédigé la Constitution de 2014) et ancien ministre des Affaires étrangères

« Le lancement du Dialogue national représente un moment d’espoir, car il nous rapproche en tant qu’Etat de l’ouverture politique pour protéger le citoyen et préserver la patrie. Il permet également d’ouvrir des voies de communication entre le gouvernement et les institutions partisanes ».
Amr Hamzawy, professeur de sciences politiques.

« J’ai de grands espoirs que le Dialogue réussisse à réaliser les objectifs auxquels nous aspirons. Je souhaite également qu’il permette de développer tous les dossiers qui concernent le pays et le citoyen ».
Hamdine Sabahi, figure de l’opposition de gauche et ancien candidat à la présidentielle
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