Artiste inclassable, Ganzeer reste surtout connu pour ses graffs. Son installation à SafarKhan dévoile un tout autre aspect de son travail, se rapprochant plus du graphisme que du Street Art. A l'avant-garde, ses œuvres rencontrent un succès sans précédent.
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Al-Soultane al-fateh (conquête 1453) est le premier film historique turc projeté en Egypte. Relatant la conquête de Constantinople par le sultan Mohamad II, ce long métrage, le plus vu de l’histoire de la Turquie, soulève un débat houleux dans le monde arabe et en Europe.
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Dernier film de Tahani Rached, Un Long souffle a été récemment projeté à l’Université américaine du Caire. Le film évoque la révolution du 25 janvier vécue par une famille égyptienne. La réalisatrice y passe son message pour parvenir à ses fins, il faut adopter une politique de longue haleine.
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Rabab Kassab dévoile un monde succulent où la révolution du 25 janvier tisse les fils d’une conjoncture sociale et humaine que l’auteur n’a de cesse de construire telle une mosaïque. L’Egypte pourra alors enfin porter sa robe de mariée …
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Britta Le Va s’est replongée dans le Vieux-Caire de Mahfouz pour traduire en clichés quelques textes de l’écrivain. Littéraires, leurs images collent au plus près aux œuvres du prix Nobel, avec sincérité et souci du détail.
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L’écrivain et journaliste Ahmed Youssef dépeint la vie de Jean Lacouture, dont le nom a toujours été lié à l’Egypte de Abdel-Nasser et à la période de décolonisation du monde arabe.
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Comme le nom l’indique, ce genre de théâtre s’exerce dans un espace public, dans la rue de préférence. Faute d’autorisations, les spectacles se sont retranchés dans les « coulisses », pour y jouer malgré tout.
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A travers sa version hilarante de l’œuvre de Saadallah Wannous, Hanzala de l’inconscience à la conscience, le metteur en scène Islam Imam dénonce la société de l’après-révolution en proposant plusieurs techniques comiques.
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Producteur, François d’Artemare revient sur le rôle du Panorama du film européen qui vient de s’achever au Caire, dans la promotion des jeunes réalisateurs.
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La galerie Picasso rassemble 44 artistes égyptiens, toutes tendances confondues, dont la plupart favorise un certain retour à l’art figuratif. Un penchant qui va au-delà des générations.
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Alors que la journée du 15 octobre leur sera dédiée, Camélia Sobhy, directrice du Centre national de la traduction et responsable des relations culturelles étrangères au ministère de la Culture, plaide pour que la culture circule entre les pays.
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Traducteur de plus de 40 ouvrages, du russe et du français vers l’arabe, Bachir Al-Sébaï est un érudit, passionné notamment d’histoire et de poésie. Il s’est consacré, entre autres, aux œuvres de Trotski, Henry Laurens, Georges Hénein et des surréalistes égyptiens.
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Mamdouh Azzam dissèque dans son roman les rapports qui régissent le monde rural dans un village syrien. L’atmosphère macabre marquant Meraj Al-Mout (échelle de la mort) reflète l’actualité écœurante du pays.
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Deux spectacles et un festival occupent le haut de la scène. Leur qualité et leur volonté de renouveler le répertoire classique promettent une saison de qualité, à l’instar de la dernière représentation des Chevaliers de l’Orient.
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Avec humour et gaieté, les élèves du studio Khaled Galal donnent un spectacle enjoué et varié où des fantômes viennent redonner vie à des gardiens tristes et mornes. Une réussite.
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Danseur et chorégraphe, Adham Hafez est directeur du Festival internationalTransdance. Il estime que si des progrès on été faits, des lacunes importantes restent à combler.
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Du 3 au 9 octobre, le 5e Festival du film européen offre une sélection de réalisations prestigieuses et de qualité. En quelques années, ce rendez-vous est devenu incontournable pour les cinéphiles. Coup de projecteur.
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L’illustratrice Sahar Abdallah dévoile en même temps un livre et une exposition sur son travail destiné en premier lieu aux enfants. Elle allie textes et dessins dans un monde enjoué rempli de bonne humeur.
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