Présidé par l’écrivaine d’origine marocaine Leïla Slimani, le jury qui distingue des romans traduits en anglais dévoilera l’identité du gagnant le 23 mai prochain.
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La monteuse Nadia Choukri (1933-2012) était le dénominateur commun de plusieurs films des années 1970-80, notamment ceux réalisés par Mohamad Khan et Atef Al-Tayeb.
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Bertrand Badie, professeur des universités à Sciences-Po Paris, rend hommage à son père révéré et aimé, à travers son nouveau livre Vivre deux cultures, qui vient de paraître aux éditions Odile Jacob.
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Le metteur en scène Hani Afifi et le compositeur, dramaturge et producteur Ibrahim Maurice présentent leur nouvelle pièce musicale Wala fil Al-Ahlam (même pas dans les rêves). Un spectacle amusant sur les planches du théâtre Qasr Al-Nil.
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Le roman de l’écrivain égyptien Shady Lewis Sur le méridien de Greenwich vient de sortir en français chez Sindbad Actes Sud.
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Plus de 6 ans de travail, presque 1500 pages, plus de 750 notices et une soixantaine de contributeurs algériens et français: le Dictionnaire de la guerre d’Algérie, codirigé par Tramor Quemeneur, Sylvie Thénault et Ouanassa Siari Tengour, sort le 16 mars, aux éditions Bouquins.
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L’essai de Ghali Shoukri Notre poésie moderne, vers où ?, réédité par l’Organisme des palais de la culture, 45 ans après sa parution en 1968, n’a rien perdu de sa valeur. C’est l’un des ouvrages de référence en matière de critique littéraire.
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Dans sa 6e édition, le festival Visions pour le court métrage égyptien, qui se tient du 9 au 18 mars, élabore les concepts et les techniques du montage et rend hommage à la monteuse Nadia Choukri.
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La chaîne égyptienne de documentaires Al-Wathaeqya vient d’être lancée le mois dernier. Première du genre en Egypte, elle cherche à se faire une place sur l’échiquier audiovisuel arabe.
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Comme chaque année, la Journée internationale des droits des femmes, le 8 mars, est l’occasion de réaffirmer l’engagement de la France, aux côtés de l’Egypte, en faveur de l’égalité entre les femmes et les hommes, des droits des femmes, de la place des femmes et de la lutte contre les violences faites aux femmes.
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La fondation Sawiris pour le développement social a célébré, le 14 février, la fin de la première résidence artistique qu’elle a offerte à 4 jeunes créateurs, lesquels ont passé plus de deux mois au centre des arts au Fayoum. Plus précisément, au village de Tunis, célèbre pour ses poteries. Reportage.
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Depuis sa projection sur la plateforme Shahid, le feuilleton égyptien Azmet Montassaf Al-Omr (la crise du milieu de vie) a suscité une vive polémique. Entre fantasmes subversifs et crises psychologiques, la série met à nu plusieurs sujets tabous.
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Prévu le 21 février au Caire, le spectacle du comédien américain Kevin Hart a finalement été annulé, suite à des appels au boycott en raison de ses propos en faveur de l’afrocentrisme. L’occasion de revenir sur ce mouvement polémique largement décrédité par les égyptologues.
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L’exposition internationale « Art Dubai », qui ouvre ses portes avec la participation de 40 pays et se tient du 1er au 5 mars, a lieu dans la ville émiratie de Jumeirah.
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La metteuse en scène libanaise Tania Khoury a présenté sa performance satirique Kahrabaa Lebnan (l’électricité au Liban), dans un vieux souk de légumes et de fruits aménagé en espace scénique. Tous les maux du pays sont évoqués autour d’un repas festif.
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Le Festival du film africain de Louqsor a rendu hommage cette année au réalisateur Mansour Sora Wade, parrain du cinéma sénégalais. Celui-ci était membre du jury de la compétition officielle, longs métrages. Entretien.
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Fondée en 1993, la Biennale internationale de Sharjah a fêté ses 30 ans en développant son concept de base « penser l’histoire dans le présent ». Elle a commencé officiellement le 7 février, mais l’exposition des oeuvres se poursuivra jusqu’au 11 juin. Focus sur la 15e édition.
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Le 49e prix du Livre Inter sera présidé par l’écrivain français David Foenkinos.
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Dans son ouvrage Vision sociale et morale dans les Thibault de Roger Martin du Gard, l’universitaire égyptienne Fathéya Al-Fararguy essaye de montrer comment l’identité ouvrière est traitée sur deux versants : collectif et individuel dans l’oeuvre de Roger Martin du Gard.
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Dans son premier roman, Victoria, l’écrivaine Karoline Kamel nous fait plonger dans le quotidien de la communauté copte à Al-Mahalla, sa ville natale, puis au Caire, où elle vient s’installer pour suivre ses études. Une oeuvre audacieuse, mais qui frôle parfois le cliché.
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