Société - Au quotidien

2013, un Ramadan bien triste …

Cette année, les festivités du mois du Ramadan sont rares. Les Egyptiens ont-ils perdu leur joie de vivre à cause des troubles politiques et de la crise économique ? Tournée dans les quartiers du Caire.


Ils iront jusqu’au bout !

Les partisans de Morsi n’abdiquent pas. Réunis sur la place Rabea Al-Adawiya à Madinet Nasr, ils se disent prêts à défendre coûte que coûte la légitimité du président déchu dont ils réclament le retour. Reportage.


Les médias étrangers dans le collimateur

Accusés de partialité dans leur traitement des événements du 30 juin, les médias étrangers suscitent la fureur des Egyptiens.


Les Egyptiens crient leur joie

Après l'éviction de Mohamad Morsi, les villes d'Egypte sont envahies par des scènes de liesse, malgré une certaine méfiance et la peur d'une guerre civile.


Le chemin pour se défaire du stress

La méditation compte de plus en plus de pratiquants en Egypte. Une discipline spirituelle, mais aussi un style de vie qui séduit des femmes et des hommes en quête de paix et de sécurité mentale, car épuisés par les turbulences actuelles dans le pays


Le 30 juin de toutes les tensions

Après un an d'exercice du pouvoir, le bilan du président Morsi divise. Certains considèrent cette durée trop courte pour se prouver. D'autres estiment sans détour qu'en raison de ses manquements, le président ne peut pas rester en place.


La Palestine à 220 km du Caire

Guéziret Awlad Fadel se trouve un village palestinien. Ils étaient quelques dizaines à fuir la guerre en 1948, ils sont aujourd'hui 4 000. Exclus du système, ils ne peuvent ni acheter des terres ni envoyer leurs enfants à l'université. Ils voudraient pouvoir bénéficier des mêmes droits que les Egyptiens, mais rêvent toujours d'un hypothétique retour dans leur pays.


Mohamed Al-Deiry : « Il arrive que les médias rendent notre travail plus difficile »

Fort de 18 ans d'expérience dans l'humanitaire, Mohamed Al-Deiry, du Haut Commissariat pour les réfugiés, estime que les médias jouent un rôle néfaste dans l'action des organisations sur le terrain.


Humanitaires, missions à hauts risques

Tous l'affirment : le travail des humanitaires devient de plus en plus dangereux. Mais rien n'arrête ces personnes engagées, toujours prêtes à s'exposer au danger pour sauver des vies.


La passion du large

Soumis à des conditions de travail éprouvantes, les pêcheurs de la Côte-Nord travaillent pour un salaire dérisoire. Pourtant, pour rien au monde, ils ne pourraient envisager d'exercer un autre métier.


Mostafa Magdi, le plus jeune conseiller au ministère de l’Education

Ils sont jeunes, brillants et ont des idées neuves. Décidés à réussir et à faire changer les choses, Nada Youssef, Mostafa Magdi et Karim Alaeddine sont les espoirs de demain. Rencontres.


Electricité : coupez !

Chaque jour pendant plusieurs heures c'est le retour à l'âge de pierre. Tout s'arrête faute d'électricité. Attendre, rallumer les bougies et critiquer l'incom­pétence du gouvernement : que faire d'autre ?


Tunnels de Gaza, les faiseurs de rois

Sur parfois 10 km de long, 1 200 tunnels courent sous la frontière entre l’Egypte et la bande de Gaza. Le trafic permet à 20 000 personnes de vivre et à quelques-uns de s'enrichir. Cette contrebande vitale pour les Gazaouis est accusée d'encourager le terrorisme dans le Sinaï.


Voyage dans l’univers secret des soufis

En quête de perfection, les soufis tentent de purifier leurs âmes afin d'entrer en communion avec Dieu. En Egypte, ils sont 15 millions à suivre avec dévotion cette voie spirituelle.


Guérir en faisant couler le sang

La hijama est une pratique médicale ancestrale qui revient aujourd’hui en force. Elle consiste en de petites incisions sur le corps pour en extraire le mal. Peu coûteuse, elle est pratiquée par des médecins mais aussi par des guérisseurs. Avec des risques pour la santé qui sont largement ignorés.


Les faux pas coûtent cher

Quatre journalistes se sont vu retirer leur accréditation à la présidence. C'est que leurs critiques semblent déranger.


Dérive autoritaire ?

Les correspondants accrédités à la présidence de la République s'attendaient à plus de liberté dans le traitement de l'information, après la chute de Moubarak. Déçus, ils dénoncent des méthodes oppressives.


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