Après quatre jours de suspense, Joe Biden a été élu 46e président des Etats-Unis. Il devrait rompre avec la politique de Donald Trump.
Trois questions à Tarek Fahmy, professeur de sciences politiquesà l’Université américaine du Caire, sur l’impact de la contamination au coronavirus de Donald Trump sur la présidentielle américaine.
Incapable d’obtenir le prolongement illimité de l’embargo sur les armes de l’Iran, Donald Trump promet une riposte qui embarrasse les autres signataires de l’accord sur le nucléaire iranien de 2015.
Survenue à quelques mois de l’élection présidentielle, la vague de manifestations qui a secoué plusieurs villes américaines– et qui intervient également en pleine crise du coronavirus– jette son ombre sur l’avenir politique du président américain, Donald Trump. Pourtant, rien n’est encore joué.
Parallèlement à la propagation du Covid-19 et de la crise sanitaire qui s’ensuit, les Etats-Unis font aujourd’hui face à des tensions politiques internes dues à la gestion de la crise. Donald Trump multiplie les manoeuvres pour que la crise ne diminue pas ses chances d’être réélu.
Devenus cette semaine le pays du monde ayant enregistré le plus grand nombre de cas de contamination la barre de 2500 morts a été dépassée, les Etats-Unis doivent probablement s’attendre au pire. Selon Donald Trump, la mortalité liée au coronavirus aux Etats-Unis atteindra son pic « probablement » dans deux semaines.
Alors que les Etats-Unis sont devenus cette semaine le nouvel épicentre de la pandémie, l’Administration américaine est fortement critiquée pour sa gestion de la crise. Gabriel Sawma, membre du comité consultatif du président américain Donald Trump, explique à Al-Ahram Hebdo les raisons de cette politique controversée.
Après avoir été blanchi par le Sénat à l’issue d’un procès en destitution, le président américain, Donald Trump, se prépare désormais à l’échéance électorale de novembre prochain.
Rejetant le plan de paix de Donald Trump, les Palestiniens se tournent désormais vers la diplomatie. Le président Abbas doit se rendre prochainement au Conseil de sécurité de l’Onu, et à l’Union européenne.
Bien que le plan du président américain, Donald Trump, soit en apparence favorable à Israël, ni la droite, dirigée par Netanyahu, ni le peuple israélien ne semblent l’apprécier.
Selon le plan de Trump, « la capitale souveraine de l’Etat de Palestine peut être nommée Al-Qods ou tout autre nom choisi par l’Etat de Palestine ». Séparé de la ville de Jérusalem par un immense mur sous forme de zigzag, Abu Dis manque des infrastructures les plus élémentaires. Depuis des décennies, ses terres font l’objet d’expropriations massives par Israël.
Retour sur les principales clauses du plan de Donald Trump.
L’année a commencé avec une nette montée de la tension entre l’Iran et les Etats-Unis. Téhéran promet de venger l’assassinat de son influent chef militaire, Qassem Soleimani, tué par une frappe américaine en Iraq. Trump menace de davantage de représailles. La région est sur le qui-vive.