Contrainte à coopérer avec la coalition anti-Daech, la Turquie craint, en même temps, un renforcement de la prépondérance kurde dans la région.
Les bases turques seront utilisées par la coalition dans les frappes contre l'EI en Syrie. L'objectif est de sauver les régions kurdes, mais aussi d'affaiblir le régime d'Al-Assad.
L’intervention sur le territoire syrien contre Daech, bien que pour l’instant aérienne, soulève un certain nombre d’interrogations quant à son impact direct sur le régime de Damas.
Islam Yakan défraie la chronique. Ce jeune homme issu d'une famille aisée et de tendance religieuse modérée est parti en Syrie pour faire le djihad. Comment ? Son entourage tente de répondre à la question.
Pour ce qui est de la coalition anti-EI, l’Iran et les Etats-Unis se sont tournés le dos. Pour les Occidentaux, pas question de collaborer avec les Iraniens. D’ailleurs, l’Iran n’a pas été convié à la réunion de Paris.
« La crise des réfugiés syriens s’aggrave. Elle franchit aujourd’hui un nouveau cap avec le chiffre record de 3 millions de personnes déplacées », a annoncé le Haut Commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (UNHCR) dans un communiqué.
Les djihadistes de l’Etat Islamique (EI) ont lancé un nouvel assaut pour s’emparer de la principale raffinerie d’Iraq et d'une importante ville en Syrie.
De Daech à Ansar Al-Charia, de nouveaux groupes terroristes pullulent dans la région. Passage en revue des principaux mouvements.
Avec Daech en Iraq, le front Al-Nosra en Syrie, Ansar Al-Charia au Maghreb, l’organisation d'Al-Qaëda apparaît comme dépassée dans ses méthodes comme dans son fonctionnement. Mais elle reste à la base de l’inspiration de ces nouveaux groupes terroristes aux exactions barbares.
Au moins 350 Syriens réfugiés dans la localité libanaise d’Ersal, théâtre de combats meurtriers entre l’armée et des djihadistes, sont rentrés dans leur pays, selon une religieuse impliquée dans cette opération citée par l’AFP.
Les chefs des communautés chrétiennes d'Egypte ont été reçus cette semaine par le président Abdel-Fattah Al-Sissi. Un geste destiné à marquer un nouveau début dans les relations entre l'Etat et l'Eglise.
Le Liban est une fois de plus entraîné malgré lui dans le conflit syrien. Cette fois avec des combats impliquant le front Al-Nosra sur son propre territoire.
Moataz Salama, politologue et spécialiste du dossier syrien au Centre des Etudes Politiques et Stratégiques (CEPS) d’Al-Ahram, minimise les dangers de l’EIIL sur la Syrie. Il estime que Bachar Al-Assad peut en profiter pour tirer son épingle du jeu.