Cette fois, c’est une offensive artistique que Moscou a lancée. Le théâtre Mariinsky a organisé un concert surprise jeudi dernier dans l’amphithéâtre de la cité antique de Palmyre, dans le centre de la Syrie, reprise voici un peu plus d’un mois aux djihadistes du groupe Etat Islamique (EI) grâce à l’appui aérien russe.
Ammar El Korbi, secrétaire général du Courant de l’Avenir, groupe syrien d’opposition modéré, estime que tout se joue entre les puissances régionales et internationales.
La guerre s'intensifie à Alep. La communauté internationale, toujours impuissante, reste les bras croisés face à ce conflit féroce qui ravage la Syrie.
Les pourparlers de paix de Genève n'avancent guère alors que la trêve au sol s'effondre. Les perspectives d'une solution politique négociée à la crise syrienne semblent de plus en plus éloignées.
Alors que l'avenir de la Syrie se dessine à Genève par les acteurs internes, mais surtout régionaux et internationaux, Israël tente d’anticiper des pressions internationales pour un éventuel retrait du Golan.
Une fois de plus, les protagonistes de la crise syrienne se retrouvent cette semaine à Genève. Le médiateur de l'Onu multiplie ses efforts pour optimiser les chances de réussite.
La libération de Palmyre des mains de Daech a permis de sauver une grande partie de la civilisation syrienne menacée de disparition.
L'affaiblissement relatif de Daech en Syrie et en Iraq, alors que son implantation en Libye est patente, laisse planer le spectre d'un danger terroriste accru en Europe.
Appuyées par leurs alliés russes et américains, les forces gouvernementales de Syrie et d'Iraq avancent pour prendre les villes occupées par l'Etat islamique.
Fort de sa victoire militaire contre l'Etat islamique, notamment à Palmyre, le régime syrien ne semble pas prêt à des concessions sur les questions de fond. Américains et Russes se trouvent obligés à user de leur influence pour que le processus de Genève aboutisse.