L'avenir de Libye semble chaotique. Un scénario à l'iraqienne n'est pas à exclure.
L'affaiblissement relatif de Daech en Syrie et en Iraq, alors que son implantation en Libye est patente, laisse planer le spectre d'un danger terroriste accru en Europe.
Appuyées par leurs alliés russes et américains, les forces gouvernementales de Syrie et d'Iraq avancent pour prendre les villes occupées par l'Etat islamique.
Le gouvernement iraqien tente tant bien que mal de contenir la crise suite à l'escalade du mouvement Al-Sadr.
Les difficultés à mettre en place les réformes politiques et économiques mettent le premier ministre Al-Abadi en mauvaise posture face à ses opposants, notamment l'influent imam chiite Moqtada Al-Sadr, qui appelle à un renversement du gouvernement.
La frontière gréco-macédonienne a été de nouveau fermée lundi dernier après que 300 migrants Iraqiens et Syriens eurent été autorisés à passer à l’aube en Macédoine, alors que le nombre de familles de migrants et réfugiés bloquées côté grec s’élevait à plus de 6 000 personnes.
Alors que le président turc, Recep Tayyip Erdogan, tente de redorer son image en se disculpant de tout soutien à Daech, son échec à régler la crise kurde lui attire un déluge de critiques internes et externes.
Dans une tentative d›effacer ses échecs en Iraq et en Syrie, Daech a perpétré une série d›attentats en Asie pour étendre ses tentacules dans de nouvelles régions.
La peur que suscite la commémoration du 25 janvier. Les enfants des rues seraient au nombre de 16 000. Un million de femmes iraqiennes victimes des conflits. Et sur les colonnes des journaux, la bataille entre l’Arabie saoudite et l’Iran est déjà enclenchée. C’est le coup d’oeil de la semaine.
L'Etat Islamique (EI) continue de perdre du terrain en Iraq, de quoi ouvrir la voie à la stabilisation de ce pays dont des pans de territoires restent contrôlés par l’organisation terroriste.